12 réponses à Faut-il manger pour vivre, ou vivre pour manger?

  1. ChangerLesChoses dit :

    Waouh, j’ai trop apprécié votre article, je suis d’accord, de nos jours, nous vivons davantage pour manger que manger pour vivre, c’est comme si on subissait cette société de consommation et qu’on a pas le choix par ce que de toute façon, tout le monde fait pareil…Je trouve ça décevant. Je me trouve dans une période de réflexion sur le sujet, et cette article mérite qu’on s’y attarde.
    Merci pour cette lecture,
    ca fait du bien d’entendre ce qui est vrai à mon sens, que trop peu de gens pensent.
    Merci

  2. elle dit :

    c’est magnifique! merci

  3. ERRIF Touria dit :

    Bonjour,
    Ce fut un délice, un régal, tout est dit ou presque, merci.
    Malgré mes difficultés à la lecture, j’ai dégusté avec beaucoup de plaisir, il est midi l’heure « rituel » de déjeuner mais j’ai peu faim, (j’en ai pas loupé une miette) donc l’appetit viendra peut être en mangeant.
    Je me suis donc nourrie pendant plus d’une heure (j’ai pris beaucoup de notes).
    Ce « festin » m’a apportée sur tous les niveaux. Dans un premier temps, au niveau professionnel, actuellement j’écris un projet pour des personnes déficientes (atelier cuisine « FAIRE UN REPAS POUR SE RESTAURER ! ») et je souhaitais rajouter une reflexion philosophique.
    Et bien ce fut encore plus succulent ce que cette lecture m’a apportée au niveau personnel, ma vie, mes souvenirs, ma culture, les fêtes, etc…..
    Et enfin en tant que citoyenne, pas de jugement……..à chacun son histoire, son vécu, ses souvenirs, ses qualités, ses souffrances etc…….
    GRAND MERCI A VOUS c’est une belle ouverture d’esprit POUR MOI.
    TOURIA

  4. ce soir au téléphone nous voulions une définition du verbe manger, n’ayant rien trouvé j’ai pensé à vous que je suis depuis bien nombres d’années, et je me suis mise à lire votre débat sur « manger pour vivre et vivre pour manger », je précise que nous sommes toutes les deux anorexiques dues à des maltraitances et mon amie que je nommerai pas par respect pour elle a comme moi beaucoup de mal a manger pour vivre. j’ai vu d’ailleurs que vous traitiez l’anorexie, cette maladie vicieuse que les gens ne comprennent toujours pas ou font semblant. bref, j’ai lu et j’ai apprécié la valeur de ce débat qui j’espère nous aidera dans notre combat au quotidien. je crois avoir fait du bien à mon amie et à moi-même par la même occasion. alors je vous remercie de mettre à la portée de tous des textes et débats construits et constructifs pour qui prend la peine de les lire. je savais tout ça mais une piqûre de rappel est toujours positif. j’ai longtemps travaillé en psychiatrie et connaît bien le problème de l’alimentation à l’excès ou inexistant. je souhaite que le café-philo continue et dure dans le temps. à très vite de vous lire.

    • cafes-philo dit :

      J’ai perdu un être cher qui s’est destructuré après des années à cette garce d’anorexie
      Pour l’amour de vous, de vos proches, écoutez votre corps, ne vous laissez pas dominer par cette bête dangereuse

  5. Hussein dit :

    Je pense que vivre pour manger très important parce-qu’il nous donne bon santé et comment on trouve les qualité de nourriture ….. Merci

  6. Pierre Agathe dit :

    Salut à tous!
    Sous le temps de Louis XI c’était la gastronomie ,les nobles vivre pour manger et les paysans mangent pour vivre!De nos jours mieux vaut manger pour vivre que vivre pour manger car la nourriture est un besoin necéssaire certe mais cependant Elle ne doit pas jouer le role le plus important dans Notre vie !Bref,mangeons pour vivre mais pas vivre pour manger!

  7. Philippe dit :

    Bonjour,

    « L’humain est …………………………….. le seul animal qui a donné une valeur symbolique au repas. »

    Impossible d’aller plus loin ! Tout le reste aussi vrai soit-il sera donc faux ! Perte de temps ….

    Salutations. Philippe

  8. mathon dit :

    Cette page est un capital d’orientation pédagogique.
    D’une grande richesse, qui, si mon souvenir est bon et ne se raconte pas, soit en-deça même de l’épicurisme actuel, absorbé dans un chronos économique « comme un stupide bourgeois gars » ouvre la perspective toujours profonde de sombrer dans le plus faim.

  9. mathon dit :

    PS : il me semble intéressant de partager avant de manger, de savoir si l’on mange pour vivre ou vivre pour manger, de partager nos expériences philosophiques c’est-à-dire livresques, soit avant que paroles se posent sur un quelconque plateau. Avec humour bien sûr (humain).

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